14 mars 2007

Crit' Grignoble: le mental est là

L'échéance approche, la tension monte...


Alors que le crit est à 2 cuites de distance, le Torpédo s'échauffe pour la dernière ligne droite (droite ?). Le sprint final devrait conduire d'içi 10 jours (et autant de soirées) l'affreuse bande sur les bords de l'Isère, où Margaux margaux se trempait le derrière dans l'eau dans l'eau si l'en en croit la légende.
Quoiqu'il en soit, les troupes sont prètes et pressées d'en découdre.
N'en déplaise aux Babars et à leurs vidéos mises en scène (genre ils boivent une bière... imposteurs !), la flamme du Torpédo brûle toujours et son service de propagande reste actif (et pour nous au moins, les images sont prises sur le vif, au coeur de l'action et sans répétitions) comme le prouve ce montage déKapant (tiré de Pravda.ukr)




Le mental extraordinaire qui règne dans l'éKip actuellement n'aurait bien sûr pas pu aboutir à un tel feu d'artifices sans le retour de cadres, véritables stimulateurs de dégeulasserie, tels que le panzer Niko et le technicien Brazil, auxquels s'est joint le subtil JC. Leur présence est un véritable plus pour le Kollectif, en soirée.
Sur le champ de bataille sableux de Copacabanch, il en est tout autrement.
Après une victoire volée par l'IUT GLT 2 (les Graveleuses et Lubriques Tantouzes) aux allures de bataille des Thermopyles, l'éKip n'a su se remobiliser pour contrer les assauts hargneux des Sup de Cons 1 (cette fois c'était plus un coup de Trafalgar...). Le match de ce soir s'annonce d'ores et déjà décisif, même si on n'en est pas encore à s'organiser de petites séances de fractionné à la sauce babar (et, franchement, à 1 semaine du Crit', est-ce réellement utile ?). En tout cas, les souffrances de l'équipe 1 auront au moins détendu l'éKip 2 et fait travailler nos abdos (le rire était de mise, avant la blessure déroutante et passagère de Nitch...).
Pour finir, dans sa logique collectiviste et plannificatrice, le Politburo somme ses troupes de penser à ressortir ses bas de laine pour constituer un SaKagnagne digne de ce nom.
PS : Saluons la présence de Diego au Crit parmi les mignons babars : il ne s'agit bien sûr pas d'un tournant historique de l'équipe 1 vers la dégueulasserie, mais bien de la caution pochetronnesque nécessaire pour éviter tout discrédit auprès des jeunes pucelles criteuses. Gageons que Diego, déjà compagnon de route du Torpédo, comprendra vite où est son intérêt et désertera le collectif babar dès la montée dans le bus pour s'en retourner vers ses fidèles Kamarades.