28 octobre 2010

Match et Vendanges - Le millésime 2009-2010 est arrivé

Kamarades,

À l'aube d'une saison dont la Pravda écrit déja qu'elle sera remplie de succès, le Kollektif affiche de nombreuses pertes. Si certaines ne sont que temporaires, car dues à l'exil Erasmov, d'autres sont définitives, et l'on craint d'ores et déja de retrouver certains kamarades au goulag du diplôme. On parle bien sûr ici du regretté Fonzinho, qui nous a quitté pour sauver le monde, un master CID-GRPS en poche.

Chouchenko, le plus fidèle des fidèles soldats torpédistes, laisse le flambeau à Sangat' et Nitch, et goûte désormais aux joies de la retraite à 22 ans (un droit qui lui est du, puisqu'il a cotisé deux ans). "Un retraite fêtée comme il se doit au WEI" nous crie la vitre de 3x4 mètres qu'il a brisée.

Une nouvelle fois, le Politburo a du faire face. Les Jeunesses Torpédistes ont montré de bien grandes choses lors de ce dernier mois.
Si, footballistiquement, la qualité est au RDV, avec notamment quatre victoires consécutives, dont trois idéologiques, que dire de la qualité en soirée! Deux restaus au mois d'octobre nous ont permis
1/ de découvrir la Sirène, un lieu magique, une patronne adorable avec qui il est aisé de danser, et où surtout les langues régionales du sud de l'Europe ont la part belle,
2/ de découvrir (au sens figuré comme au sens propre) les pom-poms génération 2011, promotion "Anna Nicole Smith",
3/ de boire un peu de vin de la cuvée du patron,
4/ de chanter la gloire de Petrouchka,
5/ de découvrir Mimille faisant du Lard Contemporain (le CAPC l'aurait déja contacté depuis ses exploits chez Georges).

Bref, la rentrée 2010-2011 promet, puisque que l'on compte, pour la première fois, plus de Pompoms que de Torpédos. Qui a dit que les places seraient chères?

Prochain match le 04/11 contre GEO, Terrain C. RDV est pris pour 18h devant les vestiaires pour un match à 18h45.

Beycows

L'ami Kalin.

04 octobre 2009

Torpédo 2009-2010 : La saga continue, nouvelle saison, mêmes objectifs

Octobre est déjà là, et la kommunication interne n'a toujours pas repris... Certains vont aller faire un tour dans l'Archipel (Alexandre si tu nous lis...)

Or donc, un mois après le lancement de cette nouvelle saison, des faits marquants sont déjà à signaler :

- Le Soviet Suprême a mis en place une nomenklatura inédite : le sémillant Mimile Louis est bombardé kapitaine et fera équipe avec le vieillissant Chouchenko aux kommandes du Politburo.

- Septembre aura globalement été placé sous le signe de la gnagne et de la débilité, les Kamarades s'offrant des cuites quotidiennes et pas toujours futées. Nitch et Overmarx nous ont chacun offert une semaine de squat en Torpédie, célébrées comme il se doit. Vidalov a pour sa part enfin quitté l'IEP. Son SCI va mieux, merci pour lui.

- L'immeuble de Mimile a brûlé, seul son appartement a été épargné, le laissant tout de même SDF (Sans Datcha Fixe). L'occasion de crécher à droite à gauche, chez les donzelles assez innocentes pour lui ouvrir leurs portes.

- Les oppositions amicales contre les Babars ont repris en vue du championnat universitaire, certains kamarades en ont d'ailleurs profité pour débloquer leurs compteurs-buts (Lalanov, Mucovicidov, Chouchenko, Fuckov, Mimile contre son camp...). Diego nous fait le plaisir de rejouer avec nous, repoussant toujours plus loin les lois de la nature. Ce type est une énigme pour la science, 10 pintes dans chaque jambes mais toujours aussi fort balle au pied.

- Les compteurs-putes ont, eux, été débloqués dès le début, grâce notamment à un Mimile affamé, à une soirée Parrainages assez chaude et à une belle nuit Erasputes.

- Gattusov n'a pu revenir parmi nous. Triste nouvelle, mais on se console avec la certitude qu'il se met des lattes à Grenade en y faisant l'apologie du Torpédo.

- Le Torpédo poursuit sa prise de contrôle interne de l'IEP. Sangat' est d'ores et déjà Président de l'AS fasciste, ce qui laisse présager une komposition de bus plutôt favorable au kollectif au moment de rallier Strasbourg en mars (15h de bus, il va y avoir des morts). Mimile peaufine quant à lui son plan d'attaque pour accéder au poste de Président du BeyDE. Le Torpédo n'est plus ce qu'il était me direz vous, mais la Révolution ne peut être menée à bien qu'à ce prix.

- Lordi, fidèle compagnon canin de notre bien aimée Dame Laura, nous a quitté. L'association des Amis du Chalet est en deuil.


Le Kollectif aborde donc octobre sereinement.
Deux grandes échéances se profilent déjà :

- Les Retrouvailles Automnales des Fils de la Torpédie, le weekend du 10, qui verra une belle bande d'affreux converger au même moment vers notre belle Bordalie. On attend déjà Pastich, Mowlot', Kosovar, Dayyydé, JayCay, et comptons bien sur la présence de Tonton Romu et Nikow la Koûlante.
Pour ceux qui seront sur place dès jeudi 8, ne manquez pas le premier repas Torpédo de l'année, histoire de tester les nouvelles recrues.

- La désormais célèbre Soirée Moustache en l'honneur de l'Anniversaire de la Révolution Russe, dont la date reste encore à déterminer mais que le Politburo compte organiser plutôt à la fin du mois.

L'année est bel et bien lancée, le Bureau Kommunication du Torpédo essaiera de vous tenir informé le mieux possible (cérémonie de remise des maillots, CRIT, organisation du Weekend Torpédo). Ceux qui souhaitent kommander le maillot de cette saison peuvent déjà kontacter les kapitaines.

Torpédo vaincra... peut-être !

Messieurs,
Kalin

Le Politburo

30 avril 2009

Jeudi 16 avril : Le jour de gloire est enfin arrivé

Ce jeudi 16 avril, le Kollectif avait décidé d'accepter le challenge proposé par les infâmes Babars. Malheureusement pour eux.

Il faut dire que l'occasion était belle de clôre la saison et boucler la boucle : un ultime derby contre l'ennemi intime ne se refuse pas.

Pré-match : il s'agit du dernier match de la saison pour les deux équipes. Bilan mitigé pour le Torpédo (une viktoire en coupe, le Trophée Karl-Marx, mais un parcours moyen en chanpionnat) et franchement médiocre pour les Elephants (aucun titre, car éliminations en demi au Crit et au Championnat Grandes Ecoles).

Match : Torpédo - Babars
Score final : 6-3

Le match débute et révèle une opposition de style radicale. Alors que le Kollectif, appliqué et sérieux, a visiblement à coeur de cueillir les Babars pour la première fois de son existence, les Petites Trompes affichent pour leur part une arrogance incroyable et prennent le Torpédo de haut. En témoigne leur schéma tactique initial, inversé par rapport à d'habitude : Capitaine Tim et Braillard-le-déchu en pointe, Champion en libéro.

Les conséquences ne se font pas attendre. Déroulant un jeu léché, le Kollectif prend l'avantage par l'intermédiaire de Kalashniko. 1-0 ! Prenant les fiers Babars à la gorge, le Torpédo porte même son avance à 2-0 (Fuckov) puis 3-0 (LeShah, anciennement Ahmadinedjad) ! Le football total torpédiste est enfin récompensé : son attaque réussit tout ce qu'elle entreprend, et sa défense fait des merveilles (oui, oui, vous avez bien lu). Jeannot Mencacci, pierre angulaire du système de jeu éléphantesque, a pris ce jour-là une décision historique en rejoignant les rangs du Kollectif. Ce pur numéro 10 fait beaucoup de bien au Torpédo pendant ce match, désinhibant et bonifiant chacun des joueurs. Un transfert définitif serait-il envisageable ? Affaire à suivre...
De même, Overmarx en libéro est souvent décisif, tout comme LeRieur en position de dernier rempart : gardien de but. Sangat' profite de cette reconversion de Marcow pour quitter ses cages et enfiler son habit de lumière : il devient le Chevalier Blanc, proposant maintes solutions sur le front offensif.

Dès lors, menés 3-0, les Babars retombent dans leurs penchants ordinaires et s'énervent. Ils rebasculent dans une organisation classique et réduisent logiquement le score, grâce à l'éternel Champion. Mais la remontée espérée n'a pas lieu. Le Kollectif, tel le roseau, plie mais ne rompt pas. La solidarité des joueurs est belle à voir, chacun accomplissant son travail défensif sans rechigner. Braillard touche les poteaux 3 fois, LeRieur multiplie les parades décisives, PapaSchultz et Chouchenko n'hésitent pas à donner leurs genoux pour sauver des ballons sur leur ligne... En bref, du très grand Torpédo.

C'est donc logiquement que la première mi-temps se termine, sur ce score fleuve de 3-1 en faveur du Kollectif de la Saucisse et du Marteau.

La seconde mi-temps ne sera finalement que la répétition de la première. LeShah signe son premier doublé (et son deuxième but) de la saison. 4-1. Les deux équipes commencent à interpréter la règle du hors-jeu à leur guise, ce qui prive Kalashniko d'un magnifique deuxième but tout en finesse (un majestueux lob sur Jacques, le malheureux gardien adverse).

Les Babars en profite pour réduir le score par Champion, d'une frappe limpide après un renvoi approximatif de la défense torpédiste sur corner. 4-2 ! Le suspense est à son paroxysme, et c'est le moment que choisit LePoirow pour redonner une confortable avance au Kollectif. 5-2 ! Tim ramène les deux équipes à 5-3, mais c'est le Torpédo qui aura le dernier mot. Jeannot trouve la lucarne d'une somptueuse demi-volée, crucifiant son ancienne équipe et consacrant la viktoire du Torpédo : 6-3 !

C'est la première fois que les Babars cèdent sous les coups de boutoirs kommunistes. Le Torpédo sauve ainsi sa saison, la rendant plus qu'honorable : une viktoire au Trophée Karl-Marx, ainsi qu'un succès historique lors de ce Clasikow !


S'ensuivit une soirée débauche habituelle Chez George - Cock&Putes. Le Torpédo convia ses éternels adversaires à cette soirée pour les humilier à nouveau, en dehors du terrain cette fois. Le résultat ne se fit pas attendre, et le naufrage collectif eut bien lieu. Les tournées de shot volèrent, concluant en beauté cette journée mémorable.

Citons, pour finir, cette phrase désormais mythique de Nitch à Braillard suite à une altercation alcoolique : "écoute Brice, je t'aime bien, mais je vais devoir te casser la gueule".

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo

Crit à Lyon : Le Kollectif remplit ses objectifs

Dans la Kapitale des petites gaules, le Torpédo n'a pas failli à sa réputation. Porté par un LeRieur des grands jours, toujours plus résistant face aux injonctions des fascistes de l'AS, il est parvenu à remplir tous les objectifs fixés.

Déjà bien rogné au sortir de la soirée pré-crit organisée dans l'antre de JayCay, le Torpédo a réussi à rallier la place de la République. Première viktoire du Kollectif.

La quinzaine de kamarades avinés qui a déboulé à Lyon a ensuite ingurgité la bagatelle de 97 bouteilles de mélanges, soit plus de 42L de gnagne au total (planifikation parfaite du Politburo). Cela a permis à chacun de se dépasser, certains plus que d'autres, mais toujours dans un intérêt commun : le maillot et la dégueulasserie. Deuxième viktoire.

Les trajets en bus, devenus de véritables compétitions entre Torpédistes et Nez Rouges (sacrés challengers ...) avec la chatte des Handaloozes pour objectif, n'ont été qu'une formalité pour les fils de la Torpédie. Troisième large viktoire pour le Kollectif, qui ne firent qu'une bouchée des tripoteurs de baballe et s'offrirent de grosses orgies avec les putes précitées. Tout cela étant facilité par notre infiltré à l'AS de cette année, et "chef" de bus : Sangat'. Autant dire qu'on a fait de ce bus un bon bordel. Le retour de la bestia, Gattusov, y a largement contribué. Vidalov remporte une fois de plus le prix Peretti de l'anus coûlant, merveilleusement mis en mot par Karim et Nitch, rédacteurs de la "Charte du Chiasseux". Un grand moment.

Quatrième viktoire, la plus symbolique : le Torpédo ramène enfin le Trophée Karl-Marx à la maison, après un match accroché contre le Lokomotiv Grenoble. Au terme du match, pasillo, photos protocolaires et échange de maillots. Un bien beau match, entre les glissades de JayCay dans la mare du rond central, les murs infranchissables dans les buts en défense sur coup-franc, Vidalov se lavant les dents dans une flaque pleine de pisse, Chouchenko se pendant à sa barre transversale, LeRieur marquant un coup-franc platinesque...

Et, en guise de cinquième et dernière viktoire, le Kollectif est revenu au complet et la tête haute en Torpédie, pendant que les Babars rentraient la queue entre les jambes après une énième défaite au Crit...
On remet le couvert l'an prochain à Strasbourg, chez les Fritz.

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo

18 mars 2009

Jeudi 12 mars : Le mouton noir

Jeudi 12 mars
Torpédie - SynthétiK B

Jouant à l'extérieur, très loin de son cher Kopacabanch, le Kollectif a su faire le plein de points, et vise maintenant la tête du groupe !

Match : ISEG - Torpédo
Score final : 0 - 3

Encore un très grand match de Tapivert, directement impliqué sur les 3 buts.

Il semble toutefois qu'il ait pris le melon, et, éclipsés, ses Kamarades commencent à se lasser de son jeu léché.
Il est vrai que Tapivert à tendance à tricoter, tant et si bien qu'on peut avoir l'impression que ses Kamarades ne jouent pas. A l'inverse, il se distingue par son absence en soirée.

Bref, autrefois enfant chéri de la Torpédie, Tapivert n'est plus aujourd'hui en odeur de sainteté dans les travées du Kopacabanch.
Les rumeurs de transfert vont bon train (l'OM, friand de ce profil de joueurs, aurait déjà formulé une offre de 14 millions d'euros...) et son avenir ne semble plus écrit du côté de la Torpédie.

Ses Kamarades, eux, espèrent que son départ leur permettra de retoucher le ballon.
Et ça pourrait être dès mercredi, le 18 mars, date du dernier match officiel de la saison...
... à une semaine de notre tournée annuelle, à Lyon, pour reconquérir le Trophée Karl-Marx !

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo

Lundi 2 mars : Naufrage, set et match

Lundi 2 mars, 20h

Pris à froid dès le retour de ses vacances (alcoolisées), le Kollectif se prend les pied dans le tapis.

Match : Torpédo - Bordeaux IV (6)
Score final : 0 - 6

Une défaite dans l'ensemble anecdotique.
Dans un match franchement équilibré, nos adversaires n'ont trouvé la faille que grâce à une action individuelle de grande classe. L'amplitude du score reste encore à expliquer.

Le fait que seulement 11 vaillants kamarades aient eu le courage de se traîner sur le Kopacabanch a peut-être joué dans cette défaite.

Rassurez-vous, le Politburo fourmille d'idées pour punir les déserteurs (goulag, sévices corporels, enfermement dans un placard avec Vidalov...) et leur faire passer l'envie d'abandonner leurs kamarades.

Messieurs,
Kalin

Le Politburo

15 février 2009

Jeudi 12 février : On s'en rapproche

Jeudi 12 février
Torpédie - Kopacabanch

Grosse pression sur les épaules des Kamarades, qui restent sur des stats impressionnantes : une viktoire en un match (merci Tapivert).

Cette fois, ce sont les podologues d'IFPP qui se dressent devant nous, dans ce chaudron qu'est le SynthétiK C.

Impatient de tailler quelques franges pour la Saint Valentin, le kollectif n'en a pas moins su rester concentré, et relever le défi tendu par ces amateurs.

Match : Torpédo - IFPP
Score final : 4 - 4

Confirmant aisément son statut de favori, le Kollectif prend rapidement le match en main, s'appuyant sur un milieu compact et des ailes très en jambes.

C'est donc logiquement que les kamarades ouvrent le score par l'intermédiaire de Kalashniko, après un bon travail de Fuckov et Overmarx. 1 - 0 !

Pourtant, et de manière incompréhensible, l'éKip va se mettre à douter. Et c'est encore le maillon faible du Torpédo qui va céder, à savoir sa défense. Ses errements permettent à l'ennemi de revenir au score : 1-1, puis 1-2 (le ballon passant de manière surnaturelle sous le ventre de Sangat, alias Gaby Arconada)

Arbitré par LeRieur, le Torpédo va toutefois relever la tête et jouer la carte de l'expérience : l'éternel Guilhem P. entre sur le terrain, ovationné par tout un peuple.

Tel un Heyzel des grands soirs, les gigantesques tribunes du Kopacabanch menacent même de s'effondrer, lorque Pastich' permet au kollectif de revenir au score ! 2 - 2 !
Lancé et plein d'orgueil, le Torpédo reprend même l'avantage grâce à Kalashniko, après un caviar du même Pastich. 3 - 2 !

Hourra, la Torpédie est en transe ! Les chants fusent, et les fumigènes et autres pétards mouillés crépitent, alors que l'on annonce une grande fête en Bordalie pour fêter ça.

A noter que Kalash tutoie les sommets, se rapprochant du compteur but de l'inatteignable Tapivert. Chapeau également à la musaraigne de Bougnard, dont les performances ne semblent pas pouvoir être ternies par sa consommation industrielle de cigarillos et alcool frelaté. De même, les années n'entament pas son goût pour la remise en question des décisions arbitrales. Bravo Messieurs !

Malgré tout, les fumiers d'IFPP égalisent. Un but inexistant, entaché d'un hors-jeu flagrant de 4m, pourtant validé par les fascistes de la FFSU. 3 - 3...

Heureusement, surgissant tel un justicier gallois, Le Poirow marque le but du 4-3 d'un tir limpide dans le petit filet adverse. 4 - 3, mérité. L'éKip croit avoir fait le plus dur et tenir sa première viktoire dans le jeu...

Mais c'est compter sans le destin et la énième (et pas la moins belle) égalisation d'IFPP, dans les arrêts de jeu. 4 - 4, score final. L'Histoire est décidément cruelle avec le Torpédo, qui doit se satisfaire de ce match nul.

La merveilleuse passe traversée par le Kollectif, invaincu en deux rencontres, a cependant belle allure. Le Torpédo se rapproche chaque jour plus de son match référence, tant le jeu qu'il développe g(n)agne en esthétik et, tout simplement, en cohérence.

Rendez-vous pour les 3 prochains matches en mars, ce qui nous permettra d'arriver au Crit au top physiquement.
Pour mieux se mettre en vrac.

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo

Mercredi 28 janvier : Le retour du fils prodigue

Ce mercredi 28 janvier, le Kollectif rechaussait les krampons, pour son premier match de l'année 2009.

Pleins de bonnes résolutions, mais les articulations encore lourdes des soirées de retrouvailles, les kamarades se retrouvèrent vers 20h30 sur leur bon vieux Synthétik C.

Ce haut lieu de l'histoire torpédiste, espace privilégié d'expression de la teckniK et du jeu léché des joueurs, allait-il enfin être le théâtre d'une viktoire ?

Tous l'espéraient, et c'est avec un mental à toute épreuve que chacun s'apprêta à reprendre le championnat.
Motivés, certes, mais diminués : Fonzinho, la clé de voûte de l'édifice torpédiste, le maître à jouer de la défense, le John Terril du pauvre comme on l'appelle dans les travées de Kopacabanch, s'étant blessé la veille à l'entrainement.

Le Torpédo allait cependant se montrer à la hauteur des pronostics les plus fous, remportant ce match tendu haut la main.

Match : Torpédo - Sciences 5 (on ne se moque pas, c'est très sérieux...)
Score final : 3-0

Dès le lancement des débats, on sent que ce match ne sera qu'une sucession d'âpres duels et une lutte équilibrée et acharnée du milieu de terrain. Dès lors, le Kollectif prend conscience que la lumière ne pourra venir que de ses individualités, de quelques éclairs de génie technik.

Problème : des individualités, justement, on en a pas des masses. Des tricoteurs oui, mais pas des tueurs...

Fort heureusement, c'est le moment qu'attendait notre goléador Tapivert pour effectuer un retour providentiel. Grâce à son talent décidément hors du commun, il va débloquer le match à lui tout seul !
Quel bonheur pour une éKip de pouvoir se reposer ainsi sur un seul joueur.
Les statistiques de ce tueur des surfaces sont effectivement impressionnantes : 0 mètres parcourus, 0 ballons joués, 0 tirs kadrés, mais 3 buts au final.
Mieux que ces pédales de Trézéguet ou Inzaghi... Prends-en de la graine Vidalov !
Merci Tapivert, reviens quand tu veux.

Fort de ce premier succès, acquis de haute lutte, et débordant de joie, le Kollectif se précipite au Cock&Putes pour fêter ça. Une première viktoire a toujours une saveur spéciale, dont il faut profiter au maximum avant qu'elle ne disparaisse.

C'est donc directement à coups de shots que les Kamarade commencent à s'en mettre. La cuitasse qu'ils se collent ce soir là fera au moins un heureux : Vince, qui a pu en profiter pour dégainer tout son répertoire de shot, du petit ver mexicain à l'absinthe slovène...

La soirée, et surtout la descente des kamarades, fut tellement dingue qu'elle amena d'ailleurs Vince le suce-nommé à halluciner : "Quand on voit ce que vous vous mettez après une victoire par forfait, qu'est ce que ce sera quand vous gagnerez vraiment?".

Qu'il se rassure, on en est pas là.

Complètement rogné, le Kollectif poursuivit la soirée par de longues pérégrinations dans Bordeaux, au cours desquelles :

- Nitch manqua de perdre une nouvelle fois sa cheville
- Chouch entreprit de faire le plein de chacune des voitures garées à portée de sa pompe à essence personnelle
- le Baron Fonzinho fut transporté sur une belle poubelle sous les yeux désapprobateurs de la BAC
- Sangat devînt cleptomane et déroba une bouteille de gin au Vival des quais (pendant que les kamarades faisaient diversion en achetant quelques poulets)
- et tous rendirent un vibrant et bel hommage (quoique tardif ?) à Molot' au domicile de Solène R.

La soirée se termina chez GW., la belle dont on dit que tous le Kollectif connait intimement.

Le dernier fait d'importance sera le lochage en règle de Chouch, qui avait eu la mauvaise idée de s'assoupir sur un canapé. Chacun s'endort ensuite paisiblement et tout bourré.

Tous ? Non. Fonzinho, ne perdant ni le nord, ni les préceptes enseignés par JB ("Le Grand Frère" sur TF1) terminera la soirée dans les bras de la sensuelle GW. Le tableau de chasse de cette dernière compte désormais un nouveau Durier. Peut-être pas le dernier.

Prochain match, IFPP-Torpédo le jeudi 12 février.

D'ici là, cultivez l'art de la gagne (nouvellement acquis) et de la gnagne (déjà maitrisé)

Messieurs,

Kalin !

Le Politburo

09 février 2009

Samedi 17 janvier : Maillots, cyrrhose et amnésie

Samedi 17 janvier...
Cette date marquée d'une pierre rouge restera dans las an(n)ales du Torpédo comme le jour tant attendu de la Remise des maillots 2008-2009 !

La soirée tant espérée eu lieu chez le terrible Gargagwen Stefanov, et fut particulièrement sale. Il faut dire que le bonheur éprouvé par les beaux mecs devant l'opportunité de se la mettre tous ensemble annoncait les pires débordements...

De plus, quelques invités de très grande marque s'étaient ajoutés aux membres actuels du kollectif : merci à Brazil, Marcow, Mowlot', JayCay et Pastich d'avoir éclaboussé la soirée de leur classe.

Le début de la cérémonie fut légèrement différé, du fait du retard du Kamarade Vidalov. N'allez pas croire que nous l'attendions, le problème était plutôt que c'est lui qui avait nos chers maillots... Le Politburo retiendra désormais qu'il ne faut pas se fier à l'infâme Seigneur de Léognagne : une crise intestinale impromptue pouvant le mettre en retard de 1 heure est toujours à craindre.

Le susnommé finit pourtant par arriver, avec nos chères tuniques dans la musette. Fonzinho et Chouchenko peuvent donc déclarer ouverte la cérémonie. Les kapitaines ne sont déjà plus très frais, ayant passé leur après-midi au Cock à chercher dans leurs multiples pintes l'inspiration pour l'écriture des discours. Ils parviennent cependant à bafouiller ces présentations succintes et individuelles pour chacun des présents (et en version originale pour les étrangers s'il vous plaît), et remettent à chacun le maillot de la nouvelle saison. Bravo au passage à LeMecQue, qui a su différer son coup de bite pour passer une petite heure en notre compagnie.

La cérémonie bat son plein et la gnagne coule à flots. Les chants les plus élaborés s'élèvent, le Kamarade LePoirow s'illustrant particulièrement dans l'art fin de la composition dégueulasse. Et une fois les fringants oripeaux distribués et revêtus, plus rien ne peut détourner le kollectif de son but : se la coller. L'objectif est brillament relevé...


La planification initialement établie par le Politburo prévoyait par la suite l'invasion sauvage d'un appart, dans la plus pure tradition torpédiste. Dans sa tentative de concrétisation de cet objectif, le kollectif va exploser en vol.


Dès la sortie de l'appart, ça devient un grand n'importe quoi. Benito enfourche sa bécane et siffle toutes les meufs passant, tel un mac avec ses putes. La grande majorité des beaux mecs traîne et s'attache à pourir les 250 mètres de voirie les séparant de la soirée... Molotov et Brazil organisent un kommando qui va partir en éclaireur les bras pleins de gnagne, au devant de la soirée pour préparer le terrain et caresser les organisatrices dans le sens du poil.
Au final, seule une grosse moitié des beaux mecs parvient à rallier la soirée MPMS, qui s'annoncait donc comme l'apothéose dégueulasse de cette soirée.

Certains, tels Mowlot ou Marcow, ne font pas long feu. Le premier perd vite la mémoire et finit par rentrer chez maman Solène, vomissant tout en marchant. Le second profite d'une seconde d'inattention de ses kamarades pour prendre la tangente, s'enfuir avec sa Marjow et héler le premier taxi venu, non sans insulter ce dernier.

D'autres, moins contraints par des obligations conjugales, parviennent à s'inscrire dans la durée : saluons ainsi particulièrement les éternels Guilhem P. (qui chopera d'ailleurs proprement) et JayCay le jusqu'au-boutiste ("Allez putain les gars, les Capus nous tendent les bras !").

Pour l'ensemble des kamarades, cette soirée aura donc commencé en apéro euphorique, et finit en trou noir béant. Encore une belle soirée en Torpédie...


A l'issue de cette soirée, nous pouvons décerner quelques prix, et plus particulièrement saluer Kalashniko, LePoireau et Benito, qui sont venus composer un podium de la gnagne inédit mais fort plaisant.

Le seul bémol de la soirée : la techniK, qui n'a pas suivi. Vous ne pourrez donc pas vous pignoler en voyant et revoyant les vidéos de la remise des maillots de cette année.
Dommage, car comme le clamait Gazelle en son temps : "C'était éééénorme !"...

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo

23 janvier 2009

Kalendrier des matches 2009

Après un premier semestre convaincant qui a vu le Kollectif inscrire 7 buts en 4 matches, il s'agit maintenant de réediter cette belle performance.

5 matches nous attendent, il faudra répondre présent, porter haut les couleurs torpédistes, et, qui sait, peut-être décrocher notre première viktoire de la saison ?

- Torpédo - Sciences (5), le mercredi 28 janvier à 21h, Synthétik B

- IFPP (1) - Torpédo, le jeudi 12 février à 18h45, Synthétik B

- Torpédo - Bordeaux IV (6), le lundi 2 mars à 21h, Synthétik B

- ISEG - Torpédo, le jeudi 12 mars à 17h, Synthétik B

- Torpédo - Sciences (6), le merdredi 18 mars à 20h, Synthétik C

3 constats:

- vous noterez que les horaires des matches sont... plutôt tardifs. Attention également, ils auront pas forcément lieu le jeudi. Le Politburo soupçonne les fascistes de la FFSU de vouloir une nouvelle fois saper le moral des troupes torpédistes. Il faudra être fort : même si l'apéro sera retardé, il ne sera pas avorté !

- 3 matches en 3 semaines au programme en mars... Ca nous permettra d'arriver au Crit au top physiquement. Attention : il faudra aussi peaufiner la descente, le sport n'étant évidemment pas la priorité.

- on va être amenés à jouer contre les pires daubes de toute la Bordalie, genre Sciences (6), Bdx IV (6)... Bref, ce que Raymond D. appellerait les "fonds de tiroirs". Le Politburo attend donc légitimement quelques scores astronomiques, digne du Real Madrid sous Franco.

On verra tout ça sur le terrain, continuez de vous chauffer. Et n'oubliez pas que la préparation mentale, à base de gnagne et de putes, est un combat de tous les instants.

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo