Trêve des confiseurs: joyeuse Pétrouchka!
Alors que Sainte Petrouchka est passée dans les foyers et a gâté tous les petits torpédistes de Bordograd et Bouscatie, le Politburo ne compte plus ses heures de repos suite à la Ière Grande semaine de la Gnagne....
Se coucher à 6h 30, se réveiller au plus tôt à 14h, ne plus avoir la gueule de bois vers 17h, se retrouver au Chalet vers 21h... Quelle belle semaine ...
Torpédo 2007/2008
La journée de jeudi avait bien commencée: hymne soviétique et autres musiques torpédesques pendant l'entrainement et tout au long du match contre les blouses blanches, Pastiche et Mollah sur le terrain, une défense centrale de fer (et en plastique sur les côtés), un (premier) but marqué, une non-défaite au final, arrosée comme il se doit à la bière dans les vestiaires. On ne pouvait que vouloir entamer la semaine de la gnagne sur de bons rails (particulièrement notre buteur diego) ; rendez-vous est donc pris au Cock'N'Bull, où les pachydermes s'étaient donné rendez-vous pour leur remise des maillots. Après avoir assisté à un "Maréchal" arrêté au T-shirt, les motivés de l'ékip décidèrent de s'en aller vers des cieux alcoolisés plus cléments, où Mollahomarx nous avait convié. La "longue marche" jusqu'à la barrière de Bègles fit de nombreuses victimes (Le Tsar, Dicov), car en solidarité avec les grèvistes de la Connex, la majeure partie de l'ékip paraphrasa Panzer au Crit l'an dernier en s'écriant "j'y vais en bus ou j'y vais pas". Seuls quelques jaunes se rendirent donc là-bas, pour une soirée sympathique, mais qui mit une gueule de bois terrible le lendemain, solidarité oblige avec les gentlemen-oenologues de ce soir-là. La semaine de la gnagne fut donc marquée pour certains par un "Où trouve-t-on du Porto Cruz Vintage 1989?". Réponse: pas chez les nombreux cavistes de Bordeaux, mais sur un site de vente en ligne (en) hollandais ne livrant pas au sud de la Wallonnie.
Dimanche 6h30: les cadavres demeurés sur le champ de bataille
Ne détaillons pas la soirée de vendredi pour le retour de Brazil et Nitch, terminée chez Brazila & Doris la footreuse - en compétition cette année pour le titre de meilleur after de Bordeaux - pour passer directement à cette magique soirée de samedi, la soirée de remise des maillots, chez notre hôte Emile. La reconstitution intégrale des évènements est mémoriellement impossible (merci la gnagne), seuls quelques flashs demeurent. Rappelons le "before" frugal des plus jeunes d'entre nous à la colloc' Molot'& Nitch, taxi des jeunes pousses égarées sur le campus un soir de grève des transports; rappelons l'apéro en attente de Tektonitch & Diego; rappelons leur arrivée, le premier avec "Findus le poisson rouge" dans une bouteille (qui sera littéralement noyé dans la vodka), le second avec petits yeux et longues cernes; rappelons cette remise de maillot, les hourrahs, Pastiche conspué; rappelons JayCay qui fait un trou de boulette dans son beau maillot moins de 15 minutes après l'avoir endossé, et Vidal' qui slamme (et oui Nicow, y'en a qui ont cette chance), auteur du bon mot mot de la soirée:
Petrouchka l'infirmière: "Alors Vidal', ça fait quoi de s'envoyer en l'air?"
Vidalov l'infâme: "Et toi, ça fait quoi de ne jamais aterrir?"
Il y a eu aussi ce paquito mémorable, et la tentative avortée de Gattusov de lancer un contre paquito tout seul; le même Gattusov essayant de jeter Diego par la fenêtre, avant de se taper la tête contre les murs, puis de s'en aller et de se perdre dans les rues tortueuses et glaciales de Bordograd. C'était un précurseur, car tous prîment l'air pour nous rendre place des martyrs de la résistance rappeler à une première année ce que s'amuser veut dire. Les courses ayant été bien faites, tous partons avec une bouteille dans les mains au minimum, bues sur le chemin, pour arriver à une soirée où LeRieur nous rappelait qu'être capitaine ça se mérite (et il le mérite ô combien), à base de lessivage sans eau de la moquette et de port de soutien-gorge prohibé. Après un moment passé là-bas (durée indéterminée), période durant laquelle l'hôtesse des lieux va voir LeRieur pour ce dialogue "Dis leur de s'en aller!" "Mais pourquoi je ferais ça?", le signal du départ est donné, retour à la case Emile Louis. Sur le chemin ce dernier et Vidal' trouveront de quoi completer la déco de l'appart' d'Emile en cette période de fêtes: un sapin géant, qu'ils porteront à deux. Une rencontre avec les forces de l'ordre fasciste rendra la fin du trajet plus mouvementée, les compères, aidés de Lalanov en éclaireur, jouant à "Metal Gear Solid" (dixit Vidalou, sinon on peut dire cache-cache) avec les flics dans les rues de Bordeaux. Chez Emile, l'heure est à la chute. Chute de Molot' qui s'endort en 15 secondes sur un fauteuil, chute du pantalon de Vidal qui pose sa virilité sur la joue de Molot' pour la photo, chute du mental de Petrouchka qui n'apprécie pas le Trivial Pourcuite organisé par Pastiche et JayCay et qui s'enfuit. Vers 6h30, l'heure est à la bavette des Capus pour les plus vaillants torpédistes que sont Nitch et Pastiche. Bilan de la soirée très positif, contesté par Nitch, qui a conspué les plus jeunes pour leur faible mental "Ils partent à minuit!"; rectifions: il était plus de 4h quand la plupart des plus jeunes se sont échappés. A noter qu'Emile Louis propose de transformer son appart' en banque vestimentaire, au regard des nombreuses fringues retrouvées chez lui le lendemain.
Après une soirée pépère à regarder le match en buvant quelques bières puis une autre à se ménager son foie, l'heure est au repas à la Vigie, l'antre de Mike Brant, qui ouvrait exceptionnellement pour nous accueillir. L'arrivée en ordre dispersé - les plus vieux s'octroyant le droit d'arriver en retard - sera vite oubliée, car on retrouve Daydé, day-day d-daydé! Et le repas de commencer, au milieu des chants, des remarques déobligeantes de JayCay (prix citron de la soirée, notre jean pierre bacri a fait honneur au "De la Tourette" inscrit sur son maillot), et des nombreux Chalutier-qui-danse lancés par Daydé, en hommage à l'invité babar du jour. Après que Mike Brant a poussé la chansonnette, le kollectif se rendra à la soirée Beydéheu retrouver la diaspora torpédiste, à savoir Emile Louis, Fonzinho et HugoBoche, en chemise sous son maillot (tu nous fais rêver, bravo!). Ceux qui avaient prévu des flasques ont bu leurs flasques, les autres, tel JayCay, iront directement se servir des pressions au bar, 7-8 fois du moins, jusqu'à ce qu'ils croisent la Mort euh un vigile. On notera les performances de Gazelle, Le Tsar, et Tonton Romu, dont les regards troubles tout au long de la soirée traduisaient une imbibation propice aux meilleurs abus. Des photos circulent sous le manteau à ce sujet d'ailleurs...
Avant...
Mercredi soir marqué par le retour éclair en Torpédie de Chouch', le fils prodigue. Décidé à se la coller comme un beau mec, il ramène dans ses bagages une bouteille d'absynthe, et l'absolue volonté de montrer à Mollahomarx que le maillot blanc c'est lui. Mollahomarx attendait ce rendez-vous depuis des semaines, fermement décidé à défendre crânement ses chances. C'est un combat titanesque qui eut lieu au Chalet sous les yeux éberlués de LeRieur, Daydé, Molot', Tonton, Clakemerde, Tektonitch et de Dame Laura et de ses habitués (dont Rachid le bavard). Au final, alors que le kollectif avait décidé de picoler pépère et de faire une longue soirée, Chouch' et Mollah (rebaptisé successivement "Mollaho" par les habitués, puis "le fils de clake-merde") ont imprimé à la soirée un rythme endiablé à base de cul-secs dévastateurs parce que "le maillot blanc ça se mérite". Au premier verre cassé, les deux étant incontrôlables, la soirée tourne court. Le temps de sortir et Chouch' explose la bouteille d'absynthe dans son sac, qui aura désormais une douce odeur anisée. Arrivé à PeyBerland, au terme d'une course et d'une chute sanglante, Chouch' se mettra en tête de repeindre le sol de couleur "rouge vin".
...après
Il est 23h47. Il finira sa nuit à l'auberge "chez Molot'" à dormir sur le lino de la salle de bain. Epilogue de l'histoire: la "mission laverie" du lendemain matin, histoire d'ôter l'odeur persistante de pastaga qui imprégnait ses habits: le drôle retrouvait sa belle le soir même et rencontrait ses beaux-parents par la même occasion... Mollaho est battu à plates coutures...
Le jeudi soir sera marqué par une double soirée: d'un côté, quelques torpédistes iront au coucou (et oui c'est jeudi), avant d'aller se coucher sagement vers 3h... De l'autre, quelques exilés participeront à "La choune à Paris", et termineront bien mal: Kosovar et Emile Louis se sont ainsi retouvés à Pigalle, dans des bars à femmes de petite vertu, sans un sou à dépenser... Ils se font virer une première fois, puis Emile rencontrera une "jeune" femme qui passera la soirée à lui caresser la cuisse en lui répétant avec un fort accent de l'Est "Tu as l'âge de mon fils"... Emile, la relève de la classe... Koso, lui, a unilatéralement rendu facultatives ses obligations professionnelles du lendemain. Cela donnera même lieu à une vaine tentative d'appel en Bouscatie... Mais le pire, c'est surtout qu'il a loupé son train de retour en Torpédie et qu'il a loupé l'ultime soirée de la semaine de la gnagne, la soirée de vendredi.
Les quelques survivants se sont ainsi une ultime fois retrouvés au Chalet, autour de quelques verres de vin rouge, Pastiche et Fonzie (pour les jeuneôts, Fonzie est le grand frère de Fonzinho) racontant la soirée de la veille à Paris. Arrivent des habitués, l'un entamant une discussion sur Pulp fiction, l'autre nous demandant si "Vous croyez aux guérisseurs?"... Le shaman va ainsi nous prendre les mains, se mettre en transe, etc, et annonce à Pastiche qu' "un truc spécial se produit", puis à Solène la footreuse qu'elle va avoir deux enfants avec un Jérôme (inconnu au bataillon)... Après avoir savouré le verre de la patronne, il est désormais largement temps de passer à la suite, au Cock'N'Bull, où l'on retrouve Diego le coude sur le zinc, et où les shots de vodka karamel se suivent, et se suivent, et se suivent ... jusqu'à ce que mort (de la carte bleue) s'en suive. Les arrivées tardives de Maginov, Daydé et Dayda sont forcément motifs à toasts divers et variés. Soudain, la question léninesque se pose: "que faire?". La soirée ne pouvant se terminer ainsi, Pastiche nous entraîne dans son antre (il doit y avoir des actions), la bien nommée "la Suite", où pour rentrer on annonce aux videurs qu' "on paye une bouteille", que l'on boira (trop?) rapidement au milieu de musique contemporaine de Brejnev. Beau chant du cygne pour cette semaine de la gnagne; le kollectif improvise enfin une dispersion titubante à l'heure où la France qui se lève tôt se réveille.
"Tu as appartenu à une équipe de foot pachydermique,
et tu le vis bizarrement bien"
La semaine de la gnagne a été grande, la semaine de la gnagne a été douce, on se la remet l'an prochain. D'ici là, n'oubliez pas que le monde entier attend de vous une conduite inégalable pour la dernière nuit de 2007.
PS: Quant au film de la remise des maillots, le voilà (désolé, il a fallu le couper en 3 parties):
Se coucher à 6h 30, se réveiller au plus tôt à 14h, ne plus avoir la gueule de bois vers 17h, se retrouver au Chalet vers 21h... Quelle belle semaine ...
Torpédo 2007/2008***
Jeudi
La journée de jeudi avait bien commencée: hymne soviétique et autres musiques torpédesques pendant l'entrainement et tout au long du match contre les blouses blanches, Pastiche et Mollah sur le terrain, une défense centrale de fer (et en plastique sur les côtés), un (premier) but marqué, une non-défaite au final, arrosée comme il se doit à la bière dans les vestiaires. On ne pouvait que vouloir entamer la semaine de la gnagne sur de bons rails (particulièrement notre buteur diego) ; rendez-vous est donc pris au Cock'N'Bull, où les pachydermes s'étaient donné rendez-vous pour leur remise des maillots. Après avoir assisté à un "Maréchal" arrêté au T-shirt, les motivés de l'ékip décidèrent de s'en aller vers des cieux alcoolisés plus cléments, où Mollahomarx nous avait convié. La "longue marche" jusqu'à la barrière de Bègles fit de nombreuses victimes (Le Tsar, Dicov), car en solidarité avec les grèvistes de la Connex, la majeure partie de l'ékip paraphrasa Panzer au Crit l'an dernier en s'écriant "j'y vais en bus ou j'y vais pas". Seuls quelques jaunes se rendirent donc là-bas, pour une soirée sympathique, mais qui mit une gueule de bois terrible le lendemain, solidarité oblige avec les gentlemen-oenologues de ce soir-là. La semaine de la gnagne fut donc marquée pour certains par un "Où trouve-t-on du Porto Cruz Vintage 1989?". Réponse: pas chez les nombreux cavistes de Bordeaux, mais sur un site de vente en ligne (en) hollandais ne livrant pas au sud de la Wallonnie.
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La remise des maillots
Dimanche 6h30: les cadavres demeurés sur le champ de batailleNe détaillons pas la soirée de vendredi pour le retour de Brazil et Nitch, terminée chez Brazila & Doris la footreuse - en compétition cette année pour le titre de meilleur after de Bordeaux - pour passer directement à cette magique soirée de samedi, la soirée de remise des maillots, chez notre hôte Emile. La reconstitution intégrale des évènements est mémoriellement impossible (merci la gnagne), seuls quelques flashs demeurent. Rappelons le "before" frugal des plus jeunes d'entre nous à la colloc' Molot'& Nitch, taxi des jeunes pousses égarées sur le campus un soir de grève des transports; rappelons l'apéro en attente de Tektonitch & Diego; rappelons leur arrivée, le premier avec "Findus le poisson rouge" dans une bouteille (qui sera littéralement noyé dans la vodka), le second avec petits yeux et longues cernes; rappelons cette remise de maillot, les hourrahs, Pastiche conspué; rappelons JayCay qui fait un trou de boulette dans son beau maillot moins de 15 minutes après l'avoir endossé, et Vidal' qui slamme (et oui Nicow, y'en a qui ont cette chance), auteur du bon mot mot de la soirée:
Petrouchka l'infirmière: "Alors Vidal', ça fait quoi de s'envoyer en l'air?"
Vidalov l'infâme: "Et toi, ça fait quoi de ne jamais aterrir?"
Il y a eu aussi ce paquito mémorable, et la tentative avortée de Gattusov de lancer un contre paquito tout seul; le même Gattusov essayant de jeter Diego par la fenêtre, avant de se taper la tête contre les murs, puis de s'en aller et de se perdre dans les rues tortueuses et glaciales de Bordograd. C'était un précurseur, car tous prîment l'air pour nous rendre place des martyrs de la résistance rappeler à une première année ce que s'amuser veut dire. Les courses ayant été bien faites, tous partons avec une bouteille dans les mains au minimum, bues sur le chemin, pour arriver à une soirée où LeRieur nous rappelait qu'être capitaine ça se mérite (et il le mérite ô combien), à base de lessivage sans eau de la moquette et de port de soutien-gorge prohibé. Après un moment passé là-bas (durée indéterminée), période durant laquelle l'hôtesse des lieux va voir LeRieur pour ce dialogue "Dis leur de s'en aller!" "Mais pourquoi je ferais ça?", le signal du départ est donné, retour à la case Emile Louis. Sur le chemin ce dernier et Vidal' trouveront de quoi completer la déco de l'appart' d'Emile en cette période de fêtes: un sapin géant, qu'ils porteront à deux. Une rencontre avec les forces de l'ordre fasciste rendra la fin du trajet plus mouvementée, les compères, aidés de Lalanov en éclaireur, jouant à "Metal Gear Solid" (dixit Vidalou, sinon on peut dire cache-cache) avec les flics dans les rues de Bordeaux. Chez Emile, l'heure est à la chute. Chute de Molot' qui s'endort en 15 secondes sur un fauteuil, chute du pantalon de Vidal qui pose sa virilité sur la joue de Molot' pour la photo, chute du mental de Petrouchka qui n'apprécie pas le Trivial Pourcuite organisé par Pastiche et JayCay et qui s'enfuit. Vers 6h30, l'heure est à la bavette des Capus pour les plus vaillants torpédistes que sont Nitch et Pastiche. Bilan de la soirée très positif, contesté par Nitch, qui a conspué les plus jeunes pour leur faible mental "Ils partent à minuit!"; rectifions: il était plus de 4h quand la plupart des plus jeunes se sont échappés. A noter qu'Emile Louis propose de transformer son appart' en banque vestimentaire, au regard des nombreuses fringues retrouvées chez lui le lendemain.
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Le repas à la Vigie et la soirée de Noël
Après une soirée pépère à regarder le match en buvant quelques bières puis une autre à se ménager son foie, l'heure est au repas à la Vigie, l'antre de Mike Brant, qui ouvrait exceptionnellement pour nous accueillir. L'arrivée en ordre dispersé - les plus vieux s'octroyant le droit d'arriver en retard - sera vite oubliée, car on retrouve Daydé, day-day d-daydé! Et le repas de commencer, au milieu des chants, des remarques déobligeantes de JayCay (prix citron de la soirée, notre jean pierre bacri a fait honneur au "De la Tourette" inscrit sur son maillot), et des nombreux Chalutier-qui-danse lancés par Daydé, en hommage à l'invité babar du jour. Après que Mike Brant a poussé la chansonnette, le kollectif se rendra à la soirée Beydéheu retrouver la diaspora torpédiste, à savoir Emile Louis, Fonzinho et HugoBoche, en chemise sous son maillot (tu nous fais rêver, bravo!). Ceux qui avaient prévu des flasques ont bu leurs flasques, les autres, tel JayCay, iront directement se servir des pressions au bar, 7-8 fois du moins, jusqu'à ce qu'ils croisent la Mort euh un vigile. On notera les performances de Gazelle, Le Tsar, et Tonton Romu, dont les regards troubles tout au long de la soirée traduisaient une imbibation propice aux meilleurs abus. Des photos circulent sous le manteau à ce sujet d'ailleurs...
***
Le retour de Chouch'
Avant...Mercredi soir marqué par le retour éclair en Torpédie de Chouch', le fils prodigue. Décidé à se la coller comme un beau mec, il ramène dans ses bagages une bouteille d'absynthe, et l'absolue volonté de montrer à Mollahomarx que le maillot blanc c'est lui. Mollahomarx attendait ce rendez-vous depuis des semaines, fermement décidé à défendre crânement ses chances. C'est un combat titanesque qui eut lieu au Chalet sous les yeux éberlués de LeRieur, Daydé, Molot', Tonton, Clakemerde, Tektonitch et de Dame Laura et de ses habitués (dont Rachid le bavard). Au final, alors que le kollectif avait décidé de picoler pépère et de faire une longue soirée, Chouch' et Mollah (rebaptisé successivement "Mollaho" par les habitués, puis "le fils de clake-merde") ont imprimé à la soirée un rythme endiablé à base de cul-secs dévastateurs parce que "le maillot blanc ça se mérite". Au premier verre cassé, les deux étant incontrôlables, la soirée tourne court. Le temps de sortir et Chouch' explose la bouteille d'absynthe dans son sac, qui aura désormais une douce odeur anisée. Arrivé à PeyBerland, au terme d'une course et d'une chute sanglante, Chouch' se mettra en tête de repeindre le sol de couleur "rouge vin".
...aprèsIl est 23h47. Il finira sa nuit à l'auberge "chez Molot'" à dormir sur le lino de la salle de bain. Epilogue de l'histoire: la "mission laverie" du lendemain matin, histoire d'ôter l'odeur persistante de pastaga qui imprégnait ses habits: le drôle retrouvait sa belle le soir même et rencontrait ses beaux-parents par la même occasion... Mollaho est battu à plates coutures...
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La fin de la semaine
La fin de la semaine
Le jeudi soir sera marqué par une double soirée: d'un côté, quelques torpédistes iront au coucou (et oui c'est jeudi), avant d'aller se coucher sagement vers 3h... De l'autre, quelques exilés participeront à "La choune à Paris", et termineront bien mal: Kosovar et Emile Louis se sont ainsi retouvés à Pigalle, dans des bars à femmes de petite vertu, sans un sou à dépenser... Ils se font virer une première fois, puis Emile rencontrera une "jeune" femme qui passera la soirée à lui caresser la cuisse en lui répétant avec un fort accent de l'Est "Tu as l'âge de mon fils"... Emile, la relève de la classe... Koso, lui, a unilatéralement rendu facultatives ses obligations professionnelles du lendemain. Cela donnera même lieu à une vaine tentative d'appel en Bouscatie... Mais le pire, c'est surtout qu'il a loupé son train de retour en Torpédie et qu'il a loupé l'ultime soirée de la semaine de la gnagne, la soirée de vendredi.
Les quelques survivants se sont ainsi une ultime fois retrouvés au Chalet, autour de quelques verres de vin rouge, Pastiche et Fonzie (pour les jeuneôts, Fonzie est le grand frère de Fonzinho) racontant la soirée de la veille à Paris. Arrivent des habitués, l'un entamant une discussion sur Pulp fiction, l'autre nous demandant si "Vous croyez aux guérisseurs?"... Le shaman va ainsi nous prendre les mains, se mettre en transe, etc, et annonce à Pastiche qu' "un truc spécial se produit", puis à Solène la footreuse qu'elle va avoir deux enfants avec un Jérôme (inconnu au bataillon)... Après avoir savouré le verre de la patronne, il est désormais largement temps de passer à la suite, au Cock'N'Bull, où l'on retrouve Diego le coude sur le zinc, et où les shots de vodka karamel se suivent, et se suivent, et se suivent ... jusqu'à ce que mort (de la carte bleue) s'en suive. Les arrivées tardives de Maginov, Daydé et Dayda sont forcément motifs à toasts divers et variés. Soudain, la question léninesque se pose: "que faire?". La soirée ne pouvant se terminer ainsi, Pastiche nous entraîne dans son antre (il doit y avoir des actions), la bien nommée "la Suite", où pour rentrer on annonce aux videurs qu' "on paye une bouteille", que l'on boira (trop?) rapidement au milieu de musique contemporaine de Brejnev. Beau chant du cygne pour cette semaine de la gnagne; le kollectif improvise enfin une dispersion titubante à l'heure où la France qui se lève tôt se réveille.
"Tu as appartenu à une équipe de foot pachydermique,et tu le vis bizarrement bien"
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La semaine de la gnagne a été grande, la semaine de la gnagne a été douce, on se la remet l'an prochain. D'ici là, n'oubliez pas que le monde entier attend de vous une conduite inégalable pour la dernière nuit de 2007.
PS: Quant au film de la remise des maillots, le voilà (désolé, il a fallu le couper en 3 parties):
posted by Torpédo Cienc Popov @ 10:16
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