09 février 2009

Samedi 17 janvier : Maillots, cyrrhose et amnésie

Samedi 17 janvier...
Cette date marquée d'une pierre rouge restera dans las an(n)ales du Torpédo comme le jour tant attendu de la Remise des maillots 2008-2009 !

La soirée tant espérée eu lieu chez le terrible Gargagwen Stefanov, et fut particulièrement sale. Il faut dire que le bonheur éprouvé par les beaux mecs devant l'opportunité de se la mettre tous ensemble annoncait les pires débordements...

De plus, quelques invités de très grande marque s'étaient ajoutés aux membres actuels du kollectif : merci à Brazil, Marcow, Mowlot', JayCay et Pastich d'avoir éclaboussé la soirée de leur classe.

Le début de la cérémonie fut légèrement différé, du fait du retard du Kamarade Vidalov. N'allez pas croire que nous l'attendions, le problème était plutôt que c'est lui qui avait nos chers maillots... Le Politburo retiendra désormais qu'il ne faut pas se fier à l'infâme Seigneur de Léognagne : une crise intestinale impromptue pouvant le mettre en retard de 1 heure est toujours à craindre.

Le susnommé finit pourtant par arriver, avec nos chères tuniques dans la musette. Fonzinho et Chouchenko peuvent donc déclarer ouverte la cérémonie. Les kapitaines ne sont déjà plus très frais, ayant passé leur après-midi au Cock à chercher dans leurs multiples pintes l'inspiration pour l'écriture des discours. Ils parviennent cependant à bafouiller ces présentations succintes et individuelles pour chacun des présents (et en version originale pour les étrangers s'il vous plaît), et remettent à chacun le maillot de la nouvelle saison. Bravo au passage à LeMecQue, qui a su différer son coup de bite pour passer une petite heure en notre compagnie.

La cérémonie bat son plein et la gnagne coule à flots. Les chants les plus élaborés s'élèvent, le Kamarade LePoirow s'illustrant particulièrement dans l'art fin de la composition dégueulasse. Et une fois les fringants oripeaux distribués et revêtus, plus rien ne peut détourner le kollectif de son but : se la coller. L'objectif est brillament relevé...


La planification initialement établie par le Politburo prévoyait par la suite l'invasion sauvage d'un appart, dans la plus pure tradition torpédiste. Dans sa tentative de concrétisation de cet objectif, le kollectif va exploser en vol.


Dès la sortie de l'appart, ça devient un grand n'importe quoi. Benito enfourche sa bécane et siffle toutes les meufs passant, tel un mac avec ses putes. La grande majorité des beaux mecs traîne et s'attache à pourir les 250 mètres de voirie les séparant de la soirée... Molotov et Brazil organisent un kommando qui va partir en éclaireur les bras pleins de gnagne, au devant de la soirée pour préparer le terrain et caresser les organisatrices dans le sens du poil.
Au final, seule une grosse moitié des beaux mecs parvient à rallier la soirée MPMS, qui s'annoncait donc comme l'apothéose dégueulasse de cette soirée.

Certains, tels Mowlot ou Marcow, ne font pas long feu. Le premier perd vite la mémoire et finit par rentrer chez maman Solène, vomissant tout en marchant. Le second profite d'une seconde d'inattention de ses kamarades pour prendre la tangente, s'enfuir avec sa Marjow et héler le premier taxi venu, non sans insulter ce dernier.

D'autres, moins contraints par des obligations conjugales, parviennent à s'inscrire dans la durée : saluons ainsi particulièrement les éternels Guilhem P. (qui chopera d'ailleurs proprement) et JayCay le jusqu'au-boutiste ("Allez putain les gars, les Capus nous tendent les bras !").

Pour l'ensemble des kamarades, cette soirée aura donc commencé en apéro euphorique, et finit en trou noir béant. Encore une belle soirée en Torpédie...


A l'issue de cette soirée, nous pouvons décerner quelques prix, et plus particulièrement saluer Kalashniko, LePoireau et Benito, qui sont venus composer un podium de la gnagne inédit mais fort plaisant.

Le seul bémol de la soirée : la techniK, qui n'a pas suivi. Vous ne pourrez donc pas vous pignoler en voyant et revoyant les vidéos de la remise des maillots de cette année.
Dommage, car comme le clamait Gazelle en son temps : "C'était éééénorme !"...

Messieurs,
Kalin !

Le Politburo